En fait, c'est ici qu'est le problème, et c'est sur ce point que les réponses divergent. Pour certains, si l'on comprend ce qui est écrit, peu importe qu'il y ait des "fautes" — ou "erreurs", terme plus juste, dépourvu des connotations moralisantes du mot "faute". Mais, qu'on dise "faute" ou "erreur", en orthographe, ne sont pas majoritaires, ceux qui la considèrent bénigne, et le choix, majoritaire lui, du mot "faute", avec ses incontournables connotations morales, donc graves, est, à lui seul une réponse positive à la question posée. Essayons de comprendre.

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