Les nombreuses contributions qui ont accompagné le billet précédent, et qui l'ont puissamment enrichi, ont ramené le débat sur la lecture — incontournable, en ce moment — en refusant, pour certaines, des donnée pourtant avérées de la linguistique, comme les particularités du français écrit et son traitement particulier des syllabes, déjà très variables à l'oral et non prises en compte à l'écrit, ainsi que celles de la psychologie des apprentissages, comme la nécessité de prendre appui sur les savoirs déjà construits des enfants, pour en faire acquérir de nouveaux.
Elles nous invitent donc à revenir plus clairement sur la définition de ce qu'est la lecture et des conséquences à en tirer, sur la manière d'aider tous les enfants à entrer en sa possession.

Lire la suite